On a un bon public et les meilleurs supporters...

il a loupé 2 tifos mais sa video a fait le tour du monde...

http://www.leprogres.fr/loire/2011/06/10/asse-paris-la-video-du-tifo-vue-par-plus-de-200-000-internautes?image=BD27F347-A559-490A-97EE-12A83FBC353F#galery

tiens celle la est beaucoup mieux :

https://www.youtube.com/watch?v=3uNmvnLuPRc&feature=player_embedded

j'etais présent en kop nord comme a chaque match , c'etait juste énorme !!
chorégraphie jamais réalisé en europe pour tout vous dire...

une video de Jolan42 sur le fidèle peuple vert

Le lien youtube : https://www.youtube.com/watch?v=HpKa3Rr65dc

déclaration du jour de Nicolita, notre stratège roumain

«Je suis très heureux de rejoindre un club ambitieux et très aimé en France. C’est le cœur qui a parlé» a lancé, d’entrée, l’international roumain, accompagné d’un interprète, avant de réciter le palmarès, sans faute, de l’ASSE. En quittant le championnat roumain, l’ancien capitaine du Steaua Bucarest s’est lancé un nouveau défi : «J’avais plusieurs propositions. J’ai rejoint la France car c’est un championnat qui me plait et qui, je pense, me va bien. C’est un championnat très performant. Je vais tout faire pour vite trouver mes marques ».
L’international roumain, qui a assisté au match ASSE –Bordeaux en Coupe de la Ligue (3-1) dans les tribunes du stade Geoffroy-Guichard, a déjà pu mesurer la ferveur du public : «C’est un très grand public. Je suis impatient de jouer devant de tels supporters». Enfin questionné sur son poste de prédilection, Banel Nicolita a eu les mots justes : «C’est l’entraineur qui décidera. Quand je suis sur un terrain, mon objectif, c’est toujours de tout donner.»

ITW de Franck Béria, défenseur de Lille

«A la fin, le public stéphanois nous a applaudis malgré la défaite de son équipe… »

En quoi le match de la saison passée est-il un souvenir particulier (victoire de Lille 2-1 lors de la 35ème journée) ?

C'est vrai que c’était un match super important pour nous. En fin de saison, ce match à Geoffroy-Guichard allait déterminer nos ambitions. Soit «simplement» une qualification pour la Ligue des Champions, soit jouer le titre. Par bonheur, ça s'est bien passé avec une victoire après avoir été menés au score.
Comme souvent contre Sainté, c'était un match agréable à voir, avec du spectacle. A la fin, le public stéphanois nous a applaudis malgré la défaite de son équipe. C'est rare de voir ça ! C'est un public de connaisseurs. Je crois qu'au niveau des joueurs et supporters, entre Lillois et stéphanois il y a du respect.

05/12/2011Ligue 1Actualité

L’ASSE à la fête à l’extérieur
Le public stéphanois aime prendre l’extérieur pour encourager les Verts. La preuve en chiffres : selon les données officielles fournies par la Ligue de Football Professionnel pour chaque journée, le public stéphanois se classe à la 2e place du classement du nombre de spectateurs présents dans les tribunes visiteurs de Ligue 1.

A chaque rendez-vous à l’extérieur, les supporters des Verts se font entendre dans les stades. Très souvent, d’ailleurs, ils monopolisent l’ambiance. Ils chantent et montrent la ferveur qu'ils ont pour leur équipe. Les statistiques en témoignent largement.

Chaque semaine, selon les données officielles fournies par la Ligue de Football Professionnel, le site Sportune établit le classement des tribunes visiteurs de Ligue 1. Et le résultat est sans appel : l’ASSE, avec l’OM, sont les leaders incontestés de ce classement. Ils monopolisent près de la moitié des supporters de Ligue 1 en déplacement. Derrière, Lyon et Lille accusent un grand retard. Et on ne comptalise pas tous les supporters stéphanois présents dans les autres tribunes (que la tribune visiteurs) qui encouragent les Verts dans tous les stade de l'Hexagone.

Classement des tribunes visiteurs de Ligue 1 après la 16e journée

1. OM 8 770 spectateurs cumulés
2. ASSE 6 501
3. OL 2 843
4. Lille OSC 1 992
5. SM Caen 1 874
6. Bordeaux 1 836
7. PSG 1 668
8. OGC Nice 1 458
9. MHSC 1 294
10. FC Lorient 1 142

Les supporters des Verts n°1 à l’extérieur

Ce dimanche soir (12-02-12), malgré le froid et l’horaire tardif de la rencontre, les supporters stéphanois ont fait forte impression au Stadium. Pendant toute la rencontre, ils ont monopolisé l’ambiance. Ils étaient près de 500 (453 exactement) à s’être déplacés au Stadium. Un record. En effet, au classement établi par notre confrère Sportune.fr, les fans stéphanois étaient les spectateurs les plus présents à l’extérieur lors de cette 23ème journée.

20 ANS DES GA

ASSE : Hamouma « kiffe le public »

LE 10 SPORT | 26.08.12 | 22:25

Romain Hamouma savoure sa première titularisation à Geoffroy-Guichard comme le relaye le site officiel du club : « Nous avons mis tous les ingrédients pour gagner ce match. Nous avons réussi une très belle première mi-temps en étant très agressifs sur nos adversaires. Nous avons été réalistes devant le but. Marquer rapidement nous a permis de nous libérer. Nous avons continué jusqu'au bout avec le même état d'esprit. Cette victoire nous fait du bien. Nous voulions vraiment retrouver notre fluidité dans le jeu basés sur des passes et des redoublements. Nous avons pris énormément de plaisir. Nous avons été très bons collectivement : c'est ce qui faut retenir. Nous voulions faire plaisir à notre public : nous y sommes arrivés. Je kiffe le public. Je me sens bien dans cette équipe. Pour l'instant je suis en réussite, il faut en profiter ».

Araujo Ilan garde un très bon souvenir de son passage à Saint-Etienne (2006-février 2010). Dans les colonnes du Progrès, l’attaquant brésilien de Bastia ne tarit pas d’éloges à l’égard d’une ville qu’il considère comme sa « deuxième maison ». Il est d’autant plus dithyrambique lorsqu’il s’agit de parler de l’ASSE :
« J’ai toujours (ce club) en moi. C’est celui qui m’a le plus marqué. J’ai eu de bons moments, d’autres plus difficiles, comme partout. Mais aujourd’hui, il ne me reste que le positif. On a pu rejouer la Coupe d’Europe avec un beau parcours [ndlr : les Verts ont été éliminés en 1/8e de finales de la feu Coupe de l'Uefa]. Il y a tout ici. L’ASSE est un club très populaire avec une histoire. Les gens sont proches des joueurs. Aujourd’hui encore, je rencontre des supporters des Verts partout où je vais. C’est vraiment plaisant. »

Désormais chez les Wolves, Bakary Sako revient pour la première fois sur son transfert surprise, dans les colonnes du 10 Sport :" Quand Wolverhampton a contacté mon représentant, j’avoue avoir d’abord un peu hésité, car le club évolue en D2. J’ai eu une discussion avec le manager et le coach des Wolves. Et puis, nous avons été invités à assister à un match de championnat. J’ai adoré l’atmosphère. C’est une ville, un club, un championnat qui respire le football, avec des structures et un mode de fonctionnement top niveau. Je m’y attendais un peu, mais pour moi, les choses sont très claires : en étant performant ici, je m’ouvrirai les portes de la Premier League. C’est mon objectif, et je me donnerai les moyens d’y parvenir. Avec les Wolves, l’objectif, c’est la remontée immédiate. Je cherchais un nouveau challenge, de nouvelles perspectives. Je suis ambitieux, je sais où je veux aller.C’est une nouvelle carrière qui commence aujourd’hui, mais partir, ça a été difficile, émouvant. Il y a eu beaucoup d’émotion ! J’ai passé trois supers années ici. J’ai côtoyé des gens supers, et des supporters comme il n’en existe nulle part ailleurs en France. Et puis, le président (Romeyer), qui m’a traité comme un fils. C’est un homme de parole, les choses ont toujours été claires entre lui et moi. Il me permet d’accomplir une partie de mon rêve, et je lui en serai toujours reconnaissant. Je serai le premier supporter des Verts ! Cette équipe a les moyens de s’installer dans le premier tiers du classement. En tout cas je le souhaite de tout cœur. "

Ex-taulier de la maison nancéenne, Jonathan BRISON, revient dans l'édition du jour de l'Est Républicain sur sa perception de ce que représente Sainté : "deux ou trois jours après ma signature, je me souviens que des supporters m'avaient déja reconnu alors que j'étais en train de faire des courses. Dès que je suis arrivé à Saint-Etienne, j'ai senti qu'il y avait un lien très fort entre les gens d'ici et le club. Contrairement à une ville comme Nancy, où il y a d’autres sports qui évoluent à un très bon niveau, avec le SLUC basket ou le hand par exemple, Saint-Etienne vit presque exclusivement pour le football. On voit plein de monde se promener avec le maillot du club (...) Quand on est joueur, on aime sentir le public à fond derrière l’équipe. L’engouement populaire est énorme, mais ça ne dépasse jamais les limites, d’après ce que j’ai pu constater. Les supporters sont souvent très nombreux à l’entraînement, ils viennent parfois de toute la France pour nous voir, mais il y a à chaque fois beaucoup de respect et de sympathie (...) Le stade est encore en travaux en vue de l’Euro 2016. Si une nouvelle tribune vient d’ouvrir derrière l’un des deux buts, l’autre est maintenant fermée. Mais quand ça pousse, ça reste très impressionnant. Franchement, Geoffroy-Guichard est l’un des trois stades les plus chauds avec Paris et Marseille (...) On comprend tout de suite qu’il y a des valeurs et une histoire à respecter. Le club nous a par exemple emmenés visiter le Musée de la Mine, c’était une bonne chose pour cerner la mentalité d’ici. L’AS Saint-Etienne, c’est une grande famille, un peu comme l’ASNL et c’est d’ailleurs pourquoi je me suis vite senti à l’aise. L’environnement incite à mouiller le maillot, à s’entraider. Il y a aussi la présence au club d’un monsieur comme Dominique Rocheteau. Il est proche de l’équipe, avec beaucoup d’humilité. Ça permet de garder les pieds sur terre lorsqu’on sait la carrière qu’il a réussie."

extrait d'interview F Lemoine:

Vous avez grandi à Saint-Étienne-en-Coglès (Ille-et-Vilaine), aviez des posters de joueurs stéphanois sur les murs de votre chambre… Était-ce votre destin de rejoindre le Forez ?

Je ne sais pas. À l'époque où j'étais encore titulaire à Rennes, je ne me voyais pas rejoindre un autre club en France, à part Sainté qui avait un truc différent des autres. Quand j'étais plus jeune, je suivais leurs résultats, il m’arrivait de mettre leur maillot pour aller voir la télé au centre de formation du Stade Rennais. J'étais un supporter, j'aimais bien le Chaudron, les ambiances, je n'y avais jamais été mais on voyait tout cela à la télé. C'était un des clubs et un des stades qui me faisait kiffer. Quand on a décidé d’arrêter avec Rennes, au début il n'y avait pas Sainté, je devais aller à Évian ; quand Sainté s'est présenté, je n'ai pas hésité une seconde.

Et c'est ce à quoi vous vous attendiez ?

C'est encore mieux ! J'avais une appréhension aussi de changer de vestiaire, de repartir un peu de zéro dans un club que je ne connaissais pas du tout alors qu'à Rennes je connaissais tout le monde, je connaissais le club par cœur. Mais j'ai trouvé un club exceptionnel, un groupe exceptionnel aussi, donc on a passé vraiment de très, très bons moments l’année dernière. J'espère que cela va continuer.

http://www.sofoot.com/on-etait-a-saint-etienne-rennes-dans-le-kop-nord-163193.html

FAUT attendre la finition du kop sud et là ce sera de l'ambiance VERTE 200%

Mike le shark a écrit:

http://www.sofoot.com/on-etait-a-saint-etienne-rennes-dans-le-kop-nord-163193.html

FAUT attendre la finition du kop sud et là ce sera de l'ambiance VERTE 200%

https://www.youtube.com/watch?v=IVraJ9_EKWk&feature=youtu.be

Fabien Lemoine, auteur d'une belle prestation mardi soir (1/2 CDL remportée contre Lille), c'est exprimé dans Le Progrès de ce jour, en mentionnant forcément la qualification pour la finale de la Coupe de la Ligue et l'esprit d'équipe que règne dans le vestiaire Stéphanois :

"C'est fabuleux, fabuleux ! On n’a pas eu des tirages faciles pour arriver jusque-là. Après avoir sorti Paris, on élimine encore un très « gros » du championnat. Avec le jeu qu’on a produit, tous les efforts qu’on a faits, on mérite d’être en finale. Maintenant il ne faut pas s’arrêter là. La finale n’est belle que lorsqu’on la gagne. Cette qualification fait d’autant plus plaisir qu’on a un groupe exceptionnel. On s’entend tous très bien, c’est familial, sain. Tout le monde discute avec tout le monde. On se bat les uns pour les autres. Il y a une grosse solidarité, beaucoup de courage, des valeurs que l’on retrouve ici. Aller à Paris avec cette équipe-là, ça va être énorme. L’émotion du Stade de France, c’est de superbes joies. Je pense qu’on va vivre quelque chose de grand. J’aurais du mal à supporter une défaite face au Stade Rennais, si jamais il devait y avoir défaite le 20 avril. On verra. Nous, on y est, c’est le principal. Maintenant, une finale, ça se joue, ça se gagne. Il y a toujours une équipe triste et une heureuse. J’espère qu’on fera partie des heureux."

L'ancien milieu de terrain du Stade Rennais est également revenu sur la joie procurée par cette qualification et par l'ambiance assurée par les deux groupes de supporters :

"Ma plus grande joie de footballeur ? Il y avait déjà eu cette demi-finale de Coupe de France remportée à Grenoble avec Rennes. C’est similaire. Quand je suis revenu de ma blessure, c’était aussi exceptionnel. Mais ici il y a un truc en plus, c’est particulier, on ne peut pas le cacher. L’ambiance du Chaudron et ce qui se fait ailleurs, c’est complètement différent. Les supporters sont toujours derrière nous. Quand c’est compliqué, ils poussent, ils poussent. On a deux groupes de supporters qui font énormément de bruit. Malheureusement, ces derniers mois, il y en a toujours un qui est défavorisé avec un petit emplacement. La saison dernière c’était les Magic. Aujourd’hui, ce sont les Green. La saison prochaine, avec les deux tribunes, on aura un Chaudron bouillant. En tout cas, nous les joueurs, on fait le maximum pour avoir de grandes soirées à Geoffroy-Guichard."

"Les Verts ce n'est pas qu'une équipe. A partir du moment où tu mets ce maillot, tu entres dans une histoire."

- Grég Coupet (ancien gardien et actuel supporter)

Hantz nous encense 28/01/2013
A l'issue de la défaite de ses protégés, 3 à 0 hier après midi, l'entraîneur bastiais Frédéric Hantz s'est dit impressionné par l'ambiance du Chaudron.

"Les Stéphanois, sont dans une phase positive. Ils ont les moyens de garder le cap, de ne pas trembler. Ils ont un public extraordinaire." (Le Progrès)

Touché par l'ovation du Chaudron dimanche après-midi, Julien Sablé commente la prestation des Verts dans la dernière édition du Dauphiné Libéré.

"Revenir à Geoffroy-Guichard, ça représente toujours un moment fort. J’ai toujours aimé ces valeurs et cet accueil fait chaud au cœur. Mais je n’avais pas la capacité, comme l’a eu Jérémie Janot, de rester ici toute ma carrière. J’avais besoin d’aller voir ailleurs si la pelouse était plus verte, même si ce n’est pas toujours le cas… L’équipe est très représentative des valeurs stéphanoises. Elle me fait plaisir. J’aime beaucoup le milieu de terrain, qui est le moteur de l’équipe. On sent que la star, c’est l’équipe, pas les joueurs. Cette équipe est saine, ça se ressent, et c’est important. L'arrivée de Brandao a changé beaucoup de choses. C’est un point de fixation et il n’y avait personne pour jouer ce rôle. Il a modifié l’équipe, même s’il est parfois maladroit."

S’il y a bien un match où les autorités n’ont à priori rien à craindre en ce qui concerne d’éventuels incidents entre supporters, c’est bien le Saint-Etienne – Bordeaux de ce vendredi. Les fans des deux clubs s’apprécient de très longue date, et chaque match entre les deux équipes donne lieu à des échanges cordiaux. Même du côté des joueurs, le message semble passé puisque Carlos Henrique a donné son opinion sur le public stéphanois, et le Brésilien n’est clairement pas insensible au charme du Chaudron.

« Pour moi, c’est le meilleur public de France. Son ambiance me rappelle les chaudes rencontres au Brésil avec des chants et des drapeaux dans toute l’enceinte. Saint-Etienne est l’équipe en forme du moment. C’est un club très solidaire qui joue très bien au ballon. Elle a beaucoup de points forts. Il faut que nous soyons à notre meilleur niveau pour arriver à faire un bon résultat dans le Chaudron », a prévenu le défenseur central bordelais, qui risque toutefois d’être un peu déçu en raison de la fermeture de deux tribunes, l’une pour les travaux, l’autre en raison d’incidents récents qui ont déplu à la direction du club forézien.

http://www.foot01.com/ligue1/l-asse-a-le-meilleur-public-de-france-pour-henrique,112705

une partie des supps verts a quand même un poix chiche dans la tête....

Les supporters des Verts (préciser certains sans généraliser) n'ont pas apprécié la décision des dirigeants de St-Etienne de fermer une partie d'une tribune de Geoffroy-Guichard pour la réception de Bordeaux (0-0), vendedi, à cause de jets de fumigènes en finale de la Coupe de la Ligue au Stade de France puis à Lyon lors de la précédente journée de L1. Ils l'ont fait savoir en effectuant une grève des encouragements lors de la première période de ce match face aux Girondins. Une attitude qui n'a pas du tout plu à Christophe Galtier.

«A la mi-temps, mes joueurs ont été choqués et je ne les avais jamais vus ainsi, a déclaré l'entraîneur stéphanois. Ils ne méritent pas cela. Ce que nous avons vécu en première période était une situation incompréhensible. Mon groupe mérite des encouragements. La première période aurait donné autre chose, il faut que nos supporteurs en prennent conscience. Nous ne sommes pour rien dans tout ce qu'il se passe. La fermeture d'une partie de tribune n'est pas mon problème. Mes joueurs méritent un peu plus d'aide dans un moment qui peut être exceptionnel. Combien de personnes ont assisté à un match de Ligue des champions au stade Geoffroy-Guichard ? Pas une. Faisons tout et passons au-dessus de tout cela. Je ne sais pas de qui c'est la faute mais ce n'est pas celle de l'équipe.» (avec AFP)

De mon point de vue ce sont les joueurs qui sont sur le terrain, et ils devraient faire abstraction des tribunes, la qualif LDC ils doivent aller la chercher...

on loupe le titre d'un point....

http://www.lfp.fr/ligue1/championnatFranceTribunes

LA FAUTE aux idiots qui ont balancé des fumigènes
et à la grève des encouragements contre Bordeaux

Taravana a écrit:

on loupe le titre d'un point....

http://www.lfp.fr/ligue1/championnatFranceTribunes

LA FAUTE aux idiots qui ont balancé des fumigènes
et à la grève des encouragements contre Bordeaux

c'est dommage car on nous a enlevé 42 pts en malus

et c'est aussi pas mal pour un stade qui avait une tribune en moins !!!

quand même aux supps des verts !!!

"Le kop Nord de Geoffroy Guichard est le cœur du stade. Le public stéphanois est la référence du football français, comparable au meilleur public d’Angleterre, comme celui d'Anfield."
Lars Sorensen Lungi (Manager d'Esbjerg).

Vous aimez ?

Dans son autobiographie "Tous les chemins mènent à Rome" parue ce mois-ci aux éditions Hugo Sport, Rudi Garcia revient longuement sur ses vertes années. Deuxième extrait : "Ici c'est le Chaudron !"

"La capacité de mobilisation et de ferveur du public stéphanois me frappa d'entrée. Je me souviens d'une semaine où le calendrier nous imposa de jouer trois fois d'affilée à domicile pour deux matches de championnat (Gueugnon et Valence) et un de Coupe de la Ligue (Gueugnon). En huit jours, il y eut trois fois 33 000 spectateurs au stade ! 100 000 personnes, en deuxième division ! Il ne me fallut pas longtemps pour saisir que j'avais mis les pieds dans un lieu à nul autre pareil. Robert, dont la force et le talent consistaient à s'imprégner de la culture du club, eut une idée géniale. A la sortie du couloir des vestiaires, juste avant de pénétrer sur le terrain, il fit inscrire "Ici, c'est le Chaudron" sur un énorme panneau qui rappelait le "This is Anfield" de Liverpool. Comme une marque de fabrique. Un formidable encouragement à se dépasser pour les porteurs de la tunique verte, un facteur d'appréhension et de retenue pour leurs adversaires.

Très vite, j'avais trouvé ma place dans le dispositif conçu par Robert, avec qui il était facile de travailler. Préparer physiquement l'équipe ne me rebutait pas : je l'avais d'ailleurs déjà fait à Corbeil au niveau amateur et j'appliquais une méthode assez proche, revue et corrigée par la lecture des cours fournis par la fédération. Mon rôle évolua avec le temps car Robert déléguait certaines responsabilités à ceux qui l'entouraient. Il nous disait souvent : "Je ne veux pas de béni-oui-oui !" Il nous recommandait même de le mettre en difficulté. Il avait beau être issu de la "vieille école" où l'entraîneur marchait seul, il charchait à nous impliquer et à créer un vrai collectif. Il me demanda d'étudier le jeu des équipes adverses, une tâche qui me passionna et à laquelle je m'étais attelé avec envie, en lui élaborant des rapports techniques et en lui préparant des montages vidéo.

Robert m'incita à me rapprocher des joueurs, dont certains n'étaient pas loin d'avoir le même âge que moi [ndp2 : Rudi Garcia avait 34 ans à son arrivée à l'ASSE en 1998]. Il y avait de bons gars dans l'effectif : Jérôme Alonzo, Lionel Potillon, Gilles Leclerc, Nestor Subiat, Jérémie Janot, Julien Sablé ou Christophe Robert, pour ne citer qu'eux. Sans oublier Claude Fichaux, qui est aujourd'hui mon adjoint. J'étais sur mon petit nuage, à l'image du club, qui termina premier au classement et assura, un an avant les prévisions les plus optimistes, sa remontée en première division. Le Chaudron bouillait. Tous les feux étaient au vert."