une belle éclaircie pour les supporters
Les Verts inauguraient ce soir, un 3e maillot (sur certains forums c'est un maillot de bagnard ou un pyjama ???). Une tunique spécial « coupes », rayée horizontalement dans un camaieu de vert, qui comme le maillot Europe de l’an dernier pourrait devenir un porte-bonheur.
Car les superstitieux auront noté qu’ainsi vétus, les joueurs d’Alain Perrin ont inscrit autant de buts en une période que lors des six premières journées de championnat.
Après un quart d’heure d’observation, Bergessio aura été sans conteste le déclencheur du réveil stéphanois. A la 22e minute, l’Argentin trompait Letizi en démontrant qu’il a toutes les qualités pour être le précieux finisseur que l’AS Saint-Etienne recherche désespérément.
Six minutes plus tard, Sanogo, l’autre recrue 2009 de l’attaque, doublait la mise profitant d’une nouvelle offrande de la défense niçoise.
A la 37e minute, Landrin enfonçait davantage Julien Sablé et ses coéquipiers en décochant une belle frappe à l’entrée de la surface de réparation.
Nice frôlait ensuite le KO complet avec une frappe de Bergessio sur le poteau. Dans la continuité, les Aiglons auraient pu ouvrir la marque par Rémy, mais c’était sans compter sur un bel arrêt de Planté, titularisé à la place de Janot.
La seconde période fut à l'identique même si les innombrables occasions franches ne se transformèrent en but que sur une énième incursion de Bergessio dans la surface niçoise.
La soirée aurait été parfaite du côté de Geoffroy-Guichard, si l'inévitable Rémy n'avait fini par réduire le score à la 85e minute sur un moment de déconcentration stéphanoise. Mais à 4-1, la qualification pour les 8e de finale étaient dans la poche depuis longtemps pour l'AS Saint-Etienne qui avait tué le match en treize minutes dès la première mi-temps.
Il reste à espérer que ce match constituera le déclic qu'Alain Perrin attendait.
Florence Fournier
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